Le passage dans les Hautes-Alpes de la tempête Aline a laissé des traces à Orcières. Des dégâts qui ne sont pas « mineurs », mais comme le dit le maire de la commune, Patrick Ricou : « la structure du pont n’a pas souffert » .
Source Le Dauphiné libéré
A la suite d'un éboulement sur la chaussée d'un mur de soutènement, la RD19 est coupée au PR 5+350 entre Fayence et Seillans.
Source Var matin
Dimanche en fin de journée les pompiers ont été mobilisés pour un feu d’alpage. Aucune habitation n’était menacée.
Source : Nice matin éd. métropole Nice - p. 20
Le maire de Breil-sur-Roya, André Ipert, a signé jeudi 26 décembre un arrêté d’interdiction temporaire à la circulation routière et piétonnière en raison d’un risque d’affaissement de la chaussée entre le numéro 454 de la voie de la 1re DFL et l’embranchement de la piste de Bancao.
Lien source : Nice Matin
Mercredi 3 mai une réunion publique est organisée au gymnase Hubert Parage à Istres pour une information sur l'exercice national de sécurité nucélaire 2023.
Le feu a pris a proximité du site archéologique des caisses Jeanjean près de la commune de Mouriès (Bouches-du-Rhône). L'intervention rapide des sapeurs-pompiers a permis de limiter le sinistre à 1 hectare de végétation.
Source France bleu
La sécurisation des Mées fait l’objet d’une réunion publique d’informations le 11 mars prochain précédant le minage du Pénitent présentant un risque d’éboulement.
Lien source : Haute Provence Info
Des arrêtés ministériels publiés le 20 octobre reconnaissent l’état de catastrophe naturelle pour deux communes des Hautes-Alpes. La première concernée est Montjay, pour des mouvements de terrain consécutifs à la sécheresse puis une réhydratation des sols entre le 1er avril et le 30 septembre 2022. La seconde commune est Saint-Julien-en-Beauchêne pour une inondation survenue le 30 mai dernier.
Source Le Dauphiné libéré
La vie reprendra ses droits dans le quartier des Mées touché par l'effondrement d'un Pénitent en décembre dernier .
Mardi après-midi, alors que le vent redoublait d’intensité, des plaques de tôles se sont envolées du toit du collège Jean-Giono, au Beausset, pour aller balayer, quinze mètres plus bas, la cour de récréation heureusement vide à cet instant.Conscients du danger représenté par ces projectiles en puissance, le principal Richard Suffren et ses collaborateurs ont aussitôt pris les mesures de sécurité qui s’imposaient : confinement des élèves dans leurs classes, interdiction à toute personne de circuler dans la cour et aux abords de l’établissement, demande d’intervention immédiate des sapeurs
