Premiers feux de la saison. Le coup de semonce (13)
24 départs de feu ont été recensés jeudi par les pompiers du département. De Vitrolles à Miramas, plusieurs hectares sont partis en fumée. source : La Provence éd. Martigues p. II |
24 départs de feu ont été recensés jeudi par les pompiers du département. De Vitrolles à Miramas, plusieurs hectares sont partis en fumée. source : La Provence éd. Martigues p. II |
L’année 2022 est particulièrement sèche avec de très faibles précipitations depuis le début d’année dans le département des Bouches-du-Rhône. Ces conditions de sécheresse sont favorables à des départs de feux, il est demandé à chacun la plus grande prudence lors de réalisation de travaux.
Imposé par la loi les parcelles les plus exposées au risque d'incendie, ce travail préparatoire de la végétation permet d'éviter bien des drames.
Source : La Provence éd. Marseille p. 6
Les habitants de certains quartiers de Châteauneuf-les-Martigues sont réveillés en sentant de fortes odeurs de gaz. Par précaution un collège a été évacué, et deux sites Seveso ont vérifié leurs installations. Il pourrait s’agir d’un dégazage en mer. |
Située dans le Parc national des Calanques au sortir de Sugiton, la crique de Pierres-Tombées est instable, minée par l'érosion et les infiltrations d'eau de pluie. Le risque de chute de rochers est connu. |
Avec le mistral et la sécheresse inhabituelle pour un mois de mai, les pompiers étaient en alerte tout le week-end. Fort heureusement, ils n'ont pas eu à faire face à des violents incendies dans les environs. source : La Provence éd. Martigues
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Un feu de végétation s'est déclaré en milieu de journée ce vendredi 27 mai à Istres, dans les Bouches-du-Rhône. L'incendie a touché des broussailles et de jeunes pins chemin du Mas de Chauvet, près du quartier d'Entressen.
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L'usine d'aciérie d'Arcelor Mittal a déversé par accident des oxydes de fer et des résidus de décapage dans la mer, samerdi dernier à Fos-sur-Mer. Selon l'industriel, l'incident est "relativement limité". |
Le PPRT doit s'accompagner de travaux de construction ou de remise aux normes d'installations comme des pièces de confinement, des abris, etc. Un coût "financé" à 25% par les industriels, 25% par les collectivités territoriales (Région, Département, Métropole) et 40 % à travers des crédits d'impôts de l'Etat. Il reste donc 10 % à financer pour les propriétaires fonciers. Des négociations sont en cours pour redistribuer le reste à charge aux collectivités territoriales (5%) mais également à Inéos et Kem One (5%).
Selon le géologue marseillais Michel Villeneuve, le "sous-sol" de la ville est sous la pression des Alpes. Explication... |