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L’Ukraine inaugure ce mardi l’arche de confinement qui va recouvrir le réacteur accidenté de la centrale de Tchernobyl et doit assurer la sécurité du site pour les 100 ans à venir.

Gigantesque. 25 000 tonnes, 108 mètres de haut et 162 mètres de long. Ce sont les dimensions colossales de l’ossature métallique qui va recouvrir, dès aujourd’hui, le réacteur nucléaire accidenté de Tchernobyl en Ukraine. « Cloche », « arche », « dôme » ou « sarcophage » : ce projet portant différents noms, hors normes et financé à hauteur de deux milliards d’euros par la communauté internationale, doit assurer

Le gouvernement japonais a dû réviser son estimation du coût de la catastrophe nucléaire. En prenant en compte le démantèlement de la centrale, la facture a presque doublé depuis 2013.

Coup dur pour les partisans du nucléaire dont l'argument consiste à dire que cette énergie est la plus compétitive en matière de production d'électricité. En effet, plus de cinq après qu’un tsunami meurtrier a frappé les côtes japonaises, endommageant les installations de la centrale nucléaire de Fukushima le 11 mars 2011, la facture s'annonce très salée pour l’État japonais qui avait dû nationaliser Tepco

108 mètres de haut et 162 mètres de long, telles sont les dimensions hors-normes de l'arche de confinement qui surplombe désormais le réacteur numéro 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl dans son sarcophage de béton, celui qui explosait au cours d'un test de sûreté, le 26 avril 1986. L'Ukraine inaugure aujourd'hui, mardi 29 novembre, ce géant de métal prévu pour sécuriser le site pour 100 ans.

Un exercice de sécurité nucléaire de niveau 2 (sur 4) aura lieu ce jeudi 1er décembre entre 8h30 et 16h à la base aérienne d'Istres. Les sirènes d'alerte de celle-ci seront déclenchées dans un créneau situé entre 8h30 et 9h, afin de signaler le début de l'exercice.

Ce dernier a pour but de tester toute la chaîne d'intervention avec le déclenchement du plan d'urgence interne de la base et le plan particulier d'intervention déclenché par les autorités locales. Aucune mesure particulière ne concernera les habitants des communes concernées.

Lien source : La Provence

Afin de tester et d’améliorer les plans de sauvegarde communaux, la préfecture du Vaucluse organise aujourd’hui un exercice de simulation sur le site de la coopérative agricole Provence Languedoc (CAPL).

Lien source : Vaucluse matin - p. 11

257 m de large, 108 m de haut, un poids total de 36 000 tonnes, un coût d’1.5 milliard d’euros. Les chiffres du sarcophage qui recouvre depuis deux jour un des réacteurs du site nucléaire de Tchernobyl sont à la démesure de la catastrophe survenue le 26 avril 1986

La Provence éd. Martigues - p. I

Une vingtaine de pompiers spécialisés dans les risques technologiques, la circulation des trains arrêtés et l’électricité coupée. Branle-bas de combat mardi soir en gare de Carcassonne après une alerte aux produits chimique dangereux.

Une trappe ouverte

Selon L’Indépendant, tout a commencé en fin d’après-midi en gare de Lézignan-Corbières, quand l’agent chargé de la surveillance des trains a remarqué au passage d’un convoi que la trappe d’un wagon-citerne était ouverte ou en tout cas endommagée. Vérification faite, le wagon en question contenait de l' oxyde de propylène, un produit

Huit maisons se sont effondrées à Lampa et les villageois ont été placés en sécurité. Mais aucune victime n’est à déplorer.

Un tremblement de terre d'une magnitude de 5,5 a secoué jeudi le sud-est du Pérou, dans la région de Puno, sans faire de victimes et ne causant que des dégâts matériels, selon un nouveau bilan de l'Institut national de la Défense civile (Indeci). 

Lien source : Europe 1

Si les tremblements de terre sont prévisibles dans les régions sismiques, leur puissance reste inconnue et difficile à mesurer à l’avance. Ainsi en octobre 2016, le réassureur Swiss Re a mis en ligne une étude centrée sur la Californie. Selon elle, les modèles qui servent à prédire les pertes sous-estiment largement le coût des sinistres, d’au moins un tiers dans les deux modèles présentés.

Lien source : Face au risque