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 Intempéries au vallon de Carimaï à Cannes : les travaux au cœur de la polémique

Une dame emportée par les eaux, retrouvée morte, noyée. Un hameau dévasté. Des villas ravagées. Des berges effondrées. Et tant d’autres dégâts qui font naître la polémique. Les travaux en cours du vallon de Carimaï censés protéger des inondations seraient-ils responsables de la catastrophe ?

Lien source : Nice matin

Même si elle a fait moins de dégâts, les vestiges de la tempête Aline sont visibles sur les plages du littoral, de Saint-Laurent-du-Var jusqu'à Antibes.

Communauté de communes, parc naturel régional du Queyras, Département et communes œuvrent à la réalisation, d’ici fin 2028, des travaux pour protéger des inondations sur le bassin versant du Guil.

Jean et Sylvie Gérard ont 88 et 86 ans. Jean-Claude Bues a 79 ans. Ils ont toujours vécu à Ristolas. Ils se souviennent des inondations de 1957, qui ont touché leurs habitations.

Source : Le Dauphiné libéré (lien)

Après 23 ans de combat, les habitants du quartier du Prat-de-Julian à Vence ont dû quitter leurs maisons. Plus de 30 maisons étaient menacées par des glissements de terrain.

La communauté de communes du Pays des Écrins a dû réaliser en urgence des travaux de consolidation le long du lit de la Durance à l’Argentière la Bessée, puisqu’elle a la compétence Gemapi, car une partie de la digue s’est dégradée rapidement, un morceau en est parti.

Lien source : D'Ici

En 2007, un glissement de terrain avait conduit à déplacer l’école maternelle de 5 classes dans ces préfabriqués où un seuil de sécurité impose de ne pas dépasser 140 élèves. Depuis la rentrée 2008, il y avait eu six fermetures de classe dans l’école élémentaire située. Depuis deux ans, l’école élémentaire est de nouveau à 10 classes.

Lien source : La Marseillaise

Ce pont de secours, mis à disposition par le CEREMA (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement), a été financé par le département et la mairie de Breil-sur-Roya

Source : France 3

Retour sur les mouvements de terrain du 23 novembre 1926 à a Roquebilière.

Lien source : Nice matin

Le feu est fixé, la surface brûlée est de 57 hectares. Les actions entreprises ont permis de sauvegarder plusieurs centaines d’hectares de végétation, une habitation et mettre en sécurité trois personnes.