Tarascon : Le débroussaillement est une obligation légale pour chacun (13)
Une réunion d’information a eu lieu lundi 21 janvier à Tarascon sur les obligations de débroussaillement
Source : La Provence éd. Arles - p. 3
Une réunion d’information a eu lieu lundi 21 janvier à Tarascon sur les obligations de débroussaillement
Source : La Provence éd. Arles - p. 3
De longs mois après que la tempête Adrian a détruit le musée et qui a salement amoché une partie de la collection, la question restait sur toutes les lèvres. Quand les retrouvailles auront-elles lieu ?
Lien source : Nice matin
Vaucluse : après l’incendie du Luberon, les experts sur le terrain
Quelques jours seulement après l’incendie qui s’est déclaré vendredi dernier, dans le Luberon, à Cheval-Blanc, des équipes de professionnels se sont retrouvées mercredi, sur les lieux, afin de tenter d’en analyser les causes.
Lien source : La Provence
Les épisodes pluvieux de novembre et décembre 2019, ayant généré des coulées de boues et inondations, ainsi que plusieurs mouvements de terrain, font l’objet d’une reconnaissance de catastrophe naturelle, annoncée ce vendredi 13 mars.
Lien source : Le Dauphiné libéré
Jeudi 11 février 2016, M. Eric Ciotti, Député, Président du Département des Alpes-Maritimes, s’est rendu à Mandelieu-La Napoule, commune dont les infrastructures et la population ont été particulièrement touchées par les intempéries d’octobre 2015. On a dénombré 3 500 sinistrés et le coût des dégâts a été estimé entre 20 et 25 M€. Eric Ciotti a présenté le bilan des demandes reçues et des aides délivrées à ce jour par le Département, dans le cadre du fonds d’aide d’urgence débloqué depuis octobre 2015
Lien source : CG06
Les personnes sinistrées disposent d’un délai de 10 jours au maximum à compter de la publication de l’arrêté au journal officiel, soit le 8 février 2020, pour déclarer les dégâts subis auprès de leur compagnie d’assurance.
Lien source : La Provence
Le maire de la commune de Tende particulièrement remonté dix huit jours après la tempête Alex. Le village est toujours privé d'eau potable, les conditions sont spartiates. Et si depuis ce lundi il est possible de quitter ou revenir à Tende, c'est un parcours du combattant.
Les 13 et 14 juin 1957 le Cristillan en furie recouvrait le village de plusieurs milliers de mètres cubes de gravats, de bois, de boue. Quelques jours plus tard et durant tout l’été, sous l’égide du Service Civil International (S.C.I), plus de 300 bénévoles provenant de 25 nationalités se relaieront pour déblayer les maisons engravées.
Source : Le Dauphiné
A La Bocca on rouvre mais pas partout
Trois mois après les inondations La Bocca retrouve ses commerces
Source : Nice matin éd. Cannes - pp. 10-11