La RD947 est définitivement fermée dans le Queyras. Au printemps, le glissement de terrain du Pas de l’Ours a provoqué l’effondrement de la chaussée qui gît désormais dans le lit du Guil.
Du mercredi 1er août au vendredi 3 août, trente tirs d’explosifs (environ) sont programmés au niveau du Pas de l’Ours dans le Queyras. Le travail mené par les artificiers de la Société alpine de géotechnique entre Aiguilles et Abriès va s’effectuer à la demande de la Communauté de communes du Guillestrois-Queyras afin d’évaluer les risques sismiques sur le glissement de terrain.
Source : Le Dauphiné
Lors du dernier comité syndical du Parc naturel régional du Queyras, Pascal Diot, l’un des agents du RTM (service de restauration des terrains de montagne de l’ONF), est venu présenter les dernières évolutions du glissement du Pas de l’Ours aux membres du comité syndical et aux habitants qui étaient présents. L’assemblée a ainsi pu apprendre que ce glissement est aujourd’hui l’un des plus surveillés de France et qu’il se comporte de manière atypique.
Source : Le Dauphiné
Ces derniers jours, le glissement du Pas de l’Ours avance de 20 à 30 centimètres quotidiennement, sur la partie basse du compartiment est, plus d’un mètre sur la partie médiane et la partie haute. Le mur de soutènement s’est effondré sur plus de 100 mètres de longueur. La RD 947 est condamnée.
Source : Le Dauphiné
Un an après les premiers signes annonciateurs d’un glissement de terrain de grande ampleur (9 millions de mètres cubes de matériaux), le phénomène géologique s’est très nettement accéléré ces deux derniers jours.
Source : Le Dauphiné
Cela a fait un an le 10 avril. Ce jour-là, le glissement de terrain sur le secteur du Pas de l’ours, déjà suivi par les services de Restauration des terrains en montagne (RTM) et du Département des Hautes-Alpes, s’accélérait. C’était le début du casse-tête. La RD 947 dessert les villages de Ristolas et d’Abriès. Environ 9 millions de mètres cubes menacent de s’effondrer. Aujourd’hui, les murets de protection le long de la RD 947 ont cédé. Une partie du mur de soutènement s’est effondrée dans la nuit du 7 au 8 avril, sur une trentaine de mètres de long…
Source : Le Dauphiné